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Un auditeur de radio à Niamey, capitale du Niger  ©Anne Mimault / Fondation Hirondelle Un auditeur de radio à Niamey, capitale du Niger

A quoi sert l’information ? Témoignages d’auditeurs.trices du Studio Kalangou au Niger

Studio Kalangou est notre programme radiophonique quotidien d’information au Niger, produit depuis sa rédaction centrale à Niamey par des journalistes nigériens et diffusé par un réseau de radios partenaires implantées dans toutes les régions du pays. Durant deux dernières tournées dans les régions d’Agadez, Tahoua, Tillabéri et Dosso, l’équipe du Studio Kalangou a réuni un certain nombre de témoignages d’auditeurs sur le rôle et l’impact du programme dans leur vie.


Azara Afangal, commerçante à Arlit, « C’est à travers Kalangou que je reçois des informations dans ma langue maternelle. Chaque jour, je suis informé sur ce qui se passe dans mon pays. »


Adamou Abdou, conducteur de taxi-moto à Arlit, « Le Studio Kalangou est une source intarissable et crédible d’information. Je suis câblé sur la radio Kaocen de 17h à 19h. »


Mme Mamane Ali Rakiya, enseignante à Agadez, « Studio Kalangou a rehaussé la crédibilité de la radio au Niger. Je ne rate jamais vos émissions. Comme moyen d’écoute, j’ai une radio et mon téléphone portable en permanence. Je suis disposé à intervenir dans vos forums. Au besoin, n’hésitez pas à me contacter sur les thèmes de l’éducation, la femme et l’enfant. »


Algamiss Islaman, SG Commune Urbaine d’Agadez, « Studio Kalangou nous gratifie d’informations crédibles en impartiales. Longue vie à Kalangou. »


Moussa Abdourahamane, Gouverneur de Tahoua, « Vous, vous n’êtes pas comme les autres journalistes, je vous fais un geste et vous les déclinez. Je comprends à présent les raisons de la crédibilité de vos émissions. »


Mohamed Yatane, acteur de la société civile à Tahoua, « Nous avons un groupe d’amis, chaque soir, nous puisons nos thèmes de débat à travers les émissions du Studio Kalangou. »


Hassane Dan Ladi, enseignant à Tamaské, « Ici à Tamaské, l’arrivée de Kalangou, nous a sorti de l’obscurité, je veux dire le manque crucial de l’information sur ce qui se passe dans le pays. »


Elhadji Rabiou, handicapé mendiant, « Je suis certes handicapé, mais fidèle auditeur de vos émissions. Vous servez aux auditeurs les informations qui leur manquaient. Seulement, je trouve le temps de diffusion très court. »


Soumana Assoumane, Préfet de Bouza, « Le Studio Kalangou, met à la disposition de l’auditeur des informations et c’est à lui de faire son idée. Personnellement, j’ai compris que vos émissions sont irréprochables. »


Mme Ousseini Mariama Adamou, Préfet de Madaoua, « Grace au Studio Kalangou, les informations du Département de Madaoua sont portées à la connaissance du monde entier à travers votre réseau de diffusion. Cela nous aide à avoir des partenaires qui nous appuient à gérer la situation des réfugiés de Bangui. »


Amadou Sabo, Chef de canton de Dogondoutchi, « Les informations de votre studio sont exceptionnelles. Grace à la radio Dallol, nous avons presque chaque jour les nouvelles du pays. Merci Studio Kalangou. »


Soufiaou Idi, menuisier bois à Dogondoutchi, « Si cela ne dépend que de moi, Kalangou doit diffuser au moins 4 heures par jour. Si possible ajouter des émissions pour les jeunes et la femme en abondance. Nous avons une jeunesse désœuvrée qui a besoin d’être accompagnée et nos femmes ne maitrisent pas les B.a.-Ba de la vie moderne. »


Maïdanda Seydou Djarmakoye, Sultan de Dosso, « Je remercie Studio Kalangou pour son inlassable contribution à la culture de la paix et au développement économique et social du Niger. Je ne rate pas vos émissions que je trouve tout simplement exceptionnelles. »


Djibrila Hassane, tailleur membre club Fara’a Dosso, « J’écoute les émissions de Kalangou depuis 2016. Avant les journaux sont impartiaux mais aujourd’hui, dès que quelqu’un commence à parler, vous le coupez. Pourquoi ? » (Allusion faite aux différentes coupures qui interviennent dans la diffusion des journaux)


Abdoulrazak Halidou, conducteur de taxi moto tricycle, « Il m’arrive très souvent de rater des clients en écoutant les émissions du studio Kalangou. »


Moussa Namaïwa, animateur au grand marché de Dosso, « Chaque jour, je branche le programme du studio Kalangou sur mon système de Sono dans le marché et ce, pour permettre à mes voisins d’écouter les informations. Le jour où je m’absente, ils sont comme ‘’des orphelins’’ »


Salo Hamadou, pharmacien à Dolbel, « Ici, les seules informations que j’écoute, sont celles de Kalangou. Dieu merci, Kalangou nous dit tout ce qui se passe dans le pays et c’est ça que nous cherchons. Sans Kalangou, Dolbel est enclavé en matière d’informations radio. »


Clémen Paul, planton à la mairie de Ouallam, « J’aime Kalangou, c’est la radio qui dit la vérité, c’est une radio qui m’impressionne beaucoup. »